La guerre fait rage dans l’est de l’Europe et on (re)découvre comment la mondialisation des échanges de denrées alimentaires rend ces produits de premières nécessité aussi spécultatifs.
Sur notre ferme, l’autonomie, travaillée depuis plusieurs années (pas d’achat d’engrais, d’aliments, maximisation du pâturage,…) et la synergie entre l’élevage et les cultures nous permettent de ne pas subir, les caprices des marchés mondiaux.
Notre devoir est de continuer à proposer une alimentation saine de qualité, produite dans les meilleures conditions, dans le respect de l’environnement, et des animaux.